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L’« écologie punitive »

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Le sujet

Largement utilisée à droite et à l’extrême droite, popularisée par Ségolène Royal en 2014, l’expression enferme les politiques environnementales dans un registre au mieux moralisateur, au pire liberticide, en évitant ainsi de débattre de la juste répartition des efforts et de l’accompagnement des plus fragiles.

Les parties prenantes

À chaque campagne électorale, la formule revient en force sur les plateaux télé et les réseaux sociaux. Rares sont les mesures en faveur du climat ou de la biodiversité qui échappent désormais à l’anathème.

Si la formule a le mérite de mettre en lumière les enjeux de justice sociale des réponses à apporter aux crises écologiques, elle se révèle trop souvent, pour celles et ceux qui y ont recours, comme un outil efficace pour freiner tout changement de modèle lorsqu’il n’est plus possible de nier l’évidence des catastrophes.

Où en somme nous


À la veille des élections européennes, nul doute que la formule poursuive son essor.

(Le Monde)

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