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L’augmentation de la consommation de biens et de services ne correspond pas nécessairement à une amélioration du bien-être

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Le sujet

Une étude récente de l’institut Hot or Cool a révélé que l’augmentation de la consommation de biens et de services ne correspond pas nécessairement à une amélioration du bien-être.

Les parties prenantes

Cette affirmation selon laquelle plus de consommation n’est pas gage de bonheur est l’une des pierres angulaires conceptuelles du mouvement « post-croissance », qui soutient que la croissance économique pousse à dépasser des limites planétaires fixes, comme la double crise du climat et de la biodiversité, sans pour autant nous rendre fondamentalement plus heureux.

Les partisans de ce mouvement prônent un éloignement du consumérisme en faveur d’activités qui enrichissent réellement le bien-être et minimisent l’impact environnemental, comme passer du temps avec ses proches, dans la nature, se consacrer à des passions créatives ou soutenir les malades et les infirmes.

Où en sommes-nous

Les partisans comme les détracteurs du concept de « post-croissance » le réduisent souvent à sa forme la plus pure. Or, dans la pratique, il existe toute une galaxie de comportements sociaux déjà bien ancrés et qui, techniquement, participent d’une croissance économique moindre, sans remettre en question le bien-être.
Qu’on le veuille ou non, il s’agit d’un raisonnement post-croissant, si peu radical soit-il.

(Source Euractiv)

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