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La Commission sous pression après l’interdiction britannique d’exporter des animaux vivants

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Le sujet

Le parlement britannique a voté un projet de loi mettant fin au transport de tous les animaux vivants en dehors du pays à des fins d’abattage ou d’engraissage.

Les parties prenantes

Les ONG européennes se félicitent d’une avancée « historique » et exhortent l’UE à suivre l’exemple. Pour les associations, ces voyages sont source de stress, de souffrance physique liée à la promiscuité et aux températures extrêmes, mais aussi de maladies.

Selon la Royal Society for the Prevention of Cruelty to Animals (RSPCA), 1,6 million d’animaux vivants étaient exportés du Royaume-Uni chaque année avant 2020.

Où en sommes-nous

Un mouvement de fond… jusqu’en Europe ?
« L’Union européenne ne peut pas continuer à faire des promesses vides en matière de bien-être animal et prétendre être un leader dans ce domaine. Elle doit prendre des mesures concrètes pour mettre fin à ce commerce cruel ».

(Euractiv)

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Notre implication est portée par notre foi dans la capacité de changement de nos sociétés et par la nécessité d’agir pour soutenir un changement qui n’est plus une option, mais une ardente nécessité.

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