Le sujet
Que ce soit sur le volet environnemental ou social, la clé de la réussite de la certification des entreprises sur le continent réside dans la capacité à conjuguer exigences internationales et locales, assure le spécialiste Thierry Téné.
Les parties prenantes
Dans un contexte africain où il y a peu de lois sur la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) et où lorsque celles-ci existent les décrets d’application sont encore attente, la labellisation RSE reste à date l’instrument préféré des entreprises.
L’une des plus anciennes est le label de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), mis en place après l’adoption d’une charte RSE par l’organisation patronale 2006. Plus d’une centaine d’entreprises l’ont obtenu aujourd’hui.
Où en sommes-nous
Quel que soit le label choisi, la réussite de son déploiement dépend de son fort ancrage local en même temps que de son alignement sur les outils internationaux de la RSE et du développement durable. L’un des enjeux clés réside dans l’élaboration d’une solution de labellisation adaptée aux différentes catégories d’entreprises, et plus particulièrement aux PME, cela avec des coûts raisonnables.
(Source jeune Afrique)
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