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Le Black Friday est surtout le symbole de la fast-fashion et de la course à la surproduction, faisant de l’environnement une simple variable d’ajustement

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Le sujet

En vingt ans, les Français ont doublé leurs achats de vêtements. Une consommation qui provoque des dégâts sociaux, environnementaux et économiques.

Les parties prenantes

À l’occasion du Black Friday, une coalition d’associations s’est formée pour « demander un encadrement de l’industrie de la mode et en particulier des enseignes de fast-fashion ».

Si le ministre de l’Économie avait déclaré aux « Universités d’été de l’économie de demain » 2023 qu’il fallait « lutter contre les abus de la fast-fashion », aucune mesure concrète et ambitieuse n’a finalement été proposée.

Où en sommes-nous

Le secteur textile représente maintenant jusqu’à 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre selon une étude de 2018 de United Nations Climate Change, et 26 % en 2050 si le rythme actuel d’augmentation des volumes de production se poursuit, selon les chiffres de l’Ademe.

(source l’Humanité)

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Notre implication est portée par notre foi dans la capacité de changement de nos sociétés et par la nécessité d’agir pour soutenir un changement qui n’est plus une option, mais une ardente nécessité.

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