Le sujet
Un chasseur a été lourdement condamné mercredi à Grenoble, pour avoir tué un rapace protégé, un pygargue, en Isère en février, et deux personnes suspectées d’avoir empoisonné un pygargue dans les Ardennes seront jugées en août. La preuve d’une prise de conscience, pour les défenseurs des oiseaux.
Les parties prenantes
Pour les défenseurs de la biodiversité et des oiseaux, ces deux actions en justice ont été rendues possibles par un suivi plus précis des espèces, particulièrement celles réintroduites.
« Plus on pose d’appareils, plus on s’aperçoit que finalement c’est loin d’être anecdotique », déclare Cédric Marteau, « on voit même que pour certaines espèces protégées, la première cause de mortalité, c’est l’empoisonnement ou le tir ».
Où en sommes-nous
Estimant que la détection des « destructions illégales » reste encore très en deçà du compte, la LPO a appelé à poursuivre la politique de suivi des relâchages d’oiseaux.
(Source Géo)
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