
Le sujet
Cet affichage est « une arme efficace pour l’État pour réduire l’impact environnemental, économique et social désastreux d’une ultra fast-fashion produite dans des conditions bien moins exigeantes qu’en France ou en Europe », souligne la ministre Agnès Pannier-Runacher dans un communiqué, rappelant que l’industrie textile était « l’une des plus polluantes au monde ».
Les parties prenantes
La mise en place de ce dispositif s’inscrit dans un contexte difficile pour les marques textiles européennes et françaises qui subissent notamment la concurrence agressive des géants chinois Shein et Temu.
L’affichage environnemental des vêtements permet selon Agnès Pannier-Runacher de « protéger » les « emplois » en France, en attendant la proposition de loi règlementant la « fast fashion », examinée au Sénat à partir du 2 juin, qui ira « également en ce sens », promet la ministre.
Ou en sommes-nous
Le dispositif doit encore être validé par le Conseil d’État et entrera en vigueur « juste avant » ou « juste après » la trêve estivale, précise le cabinet d’Agnès Pannier-Runacher.
(Source Euractiv)

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